« Nous copions la nature. Nous transformons des biodéchets comme la pulpe et la mélasse de betterave qui, grâce à un processus de fermentation, deviennent sept types d’acides organiques naturels. Ceux-ci peuvent être utilisés dans la cosmétique, l’agroalimentaire ou encore l’industrie aéronautique en substitution des dérivés du pétrole. Par exemple, nous pouvons générer de l’acide valérique qu’on retrouve dans les moteurs d’avion ou encore de l’acide propionique qui est un excellent conservateur naturel », explique Jérémy Pessiot, co-fondateur et directeur général d’Afyren.
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